A ma grand-mère
EN SA MEMOIRE
La maladie a forcé,
La porte de cette maison.
Le médecin y est alors rentré,
En toute raison.
Et en dépit de cette sage précaution,
La mort a surgi et a frappé,
Avec rage et passion,
L’être malade que j’ai tant aimé…
Dans les pièces de cette vieille maison, dès lors,
Ne cesse d’errer,
Le parfum de l’âme trépassée,
Entrainant dans son sillage, l’odeur de la mort….
Elle erre, erre, erre…
L’âme en peine,
De cette séparation inhumaine,
Qui nous a déchiré à cœur ouvert.
Je ne puis reconnaitre,
Le sort de l’être humain,
Qui est d’aujourd’hui naitre,
Et de peut-être mourir demain ?
Le jour semble plus douce la déchirure,
Mais les soirs,
Alors que tombe la nuit noire…
Elle n’est que plus dure !
Les sanglots,
Me prennent d’assaut.
Alors ruissellent les larmes,
A vous faire rendre l’âme…
Seuls restent les souvenirs…
Mais en sa mémoire,
Il faut encore vivre et rire,
Et en un au-delà croire…
La maladie a forcé,
La porte de cette maison.
Le médecin y est alors rentré,
En toute raison.
Et en dépit de cette sage précaution,
La mort a surgi et a frappé,
Avec rage et passion,
L’être malade que j’ai tant aimé…
Dans les pièces de cette vieille maison, dès lors,
Ne cesse d’errer,
Le parfum de l’âme trépassée,
Entrainant dans son sillage, l’odeur de la mort….
Elle erre, erre, erre…
L’âme en peine,
De cette séparation inhumaine,
Qui nous a déchiré à cœur ouvert.
Je ne puis reconnaitre,
Le sort de l’être humain,
Qui est d’aujourd’hui naitre,
Et de peut-être mourir demain ?
Le jour semble plus douce la déchirure,
Mais les soirs,
Alors que tombe la nuit noire…
Elle n’est que plus dure !
Les sanglots,
Me prennent d’assaut.
Alors ruissellent les larmes,
A vous faire rendre l’âme…
Seuls restent les souvenirs…
Mais en sa mémoire,
Il faut encore vivre et rire,
Et en un au-delà croire…
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