DANS LA NUIT VIOLACEE
Mon cœur, dans son larmoiement,
Est comme le vent
Qui hurle dans la nuit violacée !...
Seul dans les méandres de l’existence,
Il s’écorche sur le temps qui trépasse…
Sombre comme un orage,
Il s’étiole d’un deuil sans mirage…
Vieillit et apeuré,
Il a froid et tremble de son sort
Dans les coulisses du théâtre de la mort…
Est comme le vent
Qui hurle dans la nuit violacée !...
Seul dans les méandres de l’existence,
Il s’écorche sur le temps qui trépasse…
Sombre comme un orage,
Il s’étiole d’un deuil sans mirage…
Vieillit et apeuré,
Il a froid et tremble de son sort
Dans les coulisses du théâtre de la mort…
Poème lu
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