L’ULTIME SOURIRE
Vieille demeure, aux larges murs de pierre,
Remplis de tant d’histoires et de mystères,
Toi si forte, si rayonnante ordinairement,
Tu sembles si faible, si funèbre présentement…
Où sont donc passés les jours fastes ?
En ces lieux aux charmes si purs, si chastes…
La nuit du tombeau approche…
N’entends-tu pas le tintement lent et répété des cloches ?
Devenues plus que le spectre de toi-même,
Tu en es à ton dernier soupir…
Tentant à l’heure suprême
Un ultime sourire,
Sous les coups des engins, tu t’effondres,
Pour n’être plus qu’un fantôme de la nuit des ombres
Remplis de tant d’histoires et de mystères,
Toi si forte, si rayonnante ordinairement,
Tu sembles si faible, si funèbre présentement…
Où sont donc passés les jours fastes ?
En ces lieux aux charmes si purs, si chastes…
La nuit du tombeau approche…
N’entends-tu pas le tintement lent et répété des cloches ?
Devenues plus que le spectre de toi-même,
Tu en es à ton dernier soupir…
Tentant à l’heure suprême
Un ultime sourire,
Sous les coups des engins, tu t’effondres,
Pour n’être plus qu’un fantôme de la nuit des ombres
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